Des solutions dépassant vos attentes
5 conseils aux entreprises pour réduire durablement leurs frais informatiques
Les éditeurs de logiciels tirent parti de la demande accrue dans le domaine informatique suite à la crise. Les conséquences pour les clients ? Des prix excessifs, une relation trop étroite avec l’éditeur et une marge de manœuvre limitée en termes de conditions. Comment rester compétitif sans voir son budget informatique exploser ?
Diverses mesures existent, de la réévaluation des achats logiciels à l’analyse critique des modèles de livraison et de licence en passant par l’examen de nouvelles méthodes d’achat basées par exemple sur des licences de logiciel d’occasion. Ces cinq conseils permettent de réduire les coûts liés à l’informatique ainsi que la dépendance vis-à-vis du prestataire.
1) Optimiser les contrats et mieux gérer les licences
Presque toutes les entreprises ont trop de licences et des conditions défavorables, mais aussi des contrats soit trop chers, arrivés à expiration et non renouvelés ou tout simplement inutiles. Toutes ces licences font grimper le poste de dépenses sans générer de valeur ajoutée.
Aux décideurs de se poser certaines questions : quel est notre objectif commercial ? Quels sont les logiciels dont j’ai besoin pour l’atteindre ? On pourrait aussi se demander pourquoi dans les appels d’offres, on voit souvent « Office » au lieu tout simplement de « logiciel de bureautique ». Mais même si on opte pour le leader du marché pour certaines raisons, il convient d’examiner quel est le nombre de licences réellement nécessaire et à quel horizon et quel peut être le modèle de licence le plus favorable.
Face à cette décision, les grands revendeurs ne sont pas de bon conseil, car ils ont une relation trop étroite avec les éditeurs. Mieux vaut faire appel à un conseil indépendant, puis effectuer un suivi par la suite. Les outils courants de gestion des licences ne sont pas non plus vraiment utiles. S’ils peuvent certes aider à établir un inventaire du parc logiciel, ils ne peuvent évaluer la valeur de la licence logicielle dans le contexte commercial en question.

2) Il ne faut pas avoir peur des audits logiciels
Beaucoup d’entreprises craignent les audits logiciels de la part de l’éditeur. Il convient de noter que du point de vue juridique, tout audit sans preuve suffisante est dénué de base légale solide. De plus, la plupart des clients n’ont pas trop peu, mais trop de licences. En effet, par peur d’être audités, ils ont accepté d’acheter plus de licences que ce qui est strictement nécessaire.
En outre, beaucoup d’entreprises connaissent mal les conditions qu’elles ont conclues. Elles ne savent donc pas vraiment ce qu’elles ont le droit de faire ou de ne pas faire avec leurs licences. Cette incertitude entraîne également une situation où elles ont un surplus de licences.
3) Les licences d’occasion, une solution moins chère et plus durable
À quoi ressemble un poste de travail parfaitement équipé ? Difficile de fournir une seule réponse à cette question, tant les besoins sont divers. Certaines personnes ont besoin de deux écrans, d’autres du nec plus ultra en matière de capacités graphiques et d’autres encore se servent de leur ordinateur comme d’une simple machine à écrire. Alors pourquoi prévoir un équipement complet avec la toute dernière version des logiciels pour l’ensemble du personnel ?
Il est en effet possible de faire des économies sur leurs frais logiciels en misant dès que possible sur des licences d’occasion. Les utilisateurs peuvent se faire transférer le droit d’utilisation de logiciels devenus inutiles soit par une autre entreprise soit par une autre division de leur société. Il s’agit généralement de versions à jour du logiciel ou tout du moins de versions faisant encore l’objet d’une maintenance et mise à jour de la part de l’éditeur. Puisque les logiciels ne s’usent pas, prolonger leur cycle de vie n’implique en rien une perte de valeur.
La revente a également un impact positif sur le bilan carbone. Si les logiciels sont certes immatériels, leur production coûte bel et bien de l’énergie. C’est là déjà une bonne raison de privilégier la réutilisation de licences d’occasion, plus durables, plutôt que de succomber à la mentalité du « toute-jetable » version monde numérique. Ces versions de seconde main permettent également de continuer à utiliser des ordinateurs plus anciens qui ne seraient pas compatibles avec des versions plus récentes.
L’argument selon lequel les versions plus anciennes de logiciels seraient plus sujettes aux cyberattaques est sans fondement. C’est même tout le contraire : on a peu d’expériences avec les nouvelles versions, et qui dit plus de fonctionnalités dit plus de portes ouvertes aux pirates informatiques. Une chose est sûre : il faut généralement plus de correctifs au début du cycle de vie qu’à la fin.
4) Le cloud, un gouffre financier potentiel
Beaucoup d’entreprises ne veulent pas avoir à réfléchir à la version logicielle qu’elles utilisent. Leur fournisseur de cloud est là pour leur fournir en permanence la toute dernière mise à jour. Les solutions SaaS permettent également d’éviter d’acheter du nouveau matériel et de devoir passer à l’échelle pour répondre aux pics d’activité. Néanmoins, toute bonne gestion des risques implique également de se demander quelles conséquences financières a un abonnement logiciel pour l’entreprise.
Les services de cloud sont très gourmands en énergie, que ce soit pour leur déploiement via des fermes de serveurs ou pour le transfert constant des données sur de longues distances. En outre, des questions essentielles autour de la protection et la maîtrise des données restent sans réponse. Mais surtout, l’externalisation des logiciels accroît la dépendance vis-à-vis des prestataires, dont les conditions d’utilisation sont souvent si peu transparentes que le client a peu de chance de s’y retrouver. Par conséquent, celui-ci a tendance à acheter tout ce que lui propose son fournisseur et à accepter les limitations qu’il impose plus ou moins sans broncher.
De plus, le cloud n’est pas forcément moins cher qu’une exploitation sur site. Si c’était le cas, les éditeurs n’en feraient pas la promotion de manière aussi active. Les fournisseurs de cloud doivent eux aussi enregistrer des bénéfices ! Il convient donc d’examiner soigneusement si et dans quels cas privilégier une solution installée sur site. Dans tous les cas, les utilisateurs feraient bien de prévoir une solution de sortie ou de repli, ne serait-ce que pour des raisons de gouvernance des données.
5) Renforcer ses compétences informatiques internes
Bien souvent, le recours au cloud va de pair avec une réduction des compétences informatiques. Une étude réalisée par le cabinet Gartner a récemment démontré que deux tiers des personnes impliquées dans les décisions d’achat technologiques ne travaillent pas pour le service informatique. Bien souvent, les différentes divisions choisissent elles-mêmes leurs équipements, qui sont financés par leur propre budget informatique. Il n’est pas rare qu’un service de cloud soit commandé à la légère.
Les entreprises concernées seraient donc bien avisées de recommencer à investir dans leurs compétences informatiques internes. Ce dont elles ont besoin, c’est d’un plan leur permettant de prendre en charge de manière globale leurs processus de base via les systèmes informatiques et d’une vue d’ensemble des coûts. Lorsque ce n’est pas le cas, leur écosystème informatique devient inutilement complexe et coûteux. C’est sans doute l’une des raisons pour lesquelles un répondant sur deux à l’étude Gartner est insatisfait de ses achats informatiques. Disposer d’une compétence interne en matière d’achats informatiques pour l’ensemble de l’entreprise permet de gagner en efficacité, en durabilité et en satisfaction. Pour en savoir plus, cliquez ici.
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